« Assieds-toi, Barbie. » – Lewis Hamilton a choqué le monde de la F1 en traitant Danica Patrick de marionnette en direct à la télévision après qu’elle l’ait publiquement insulté, affirmant qu’il était le pire pilote de l’histoire de la F1 et qu’il devait prendre sa retraite

Le monde de la Formule 1 est en ébullition depuis la scène surréaliste qui s’est déroulée hier soir en direct à la télévision. Lewis Hamilton, septuple champion du monde, a déclenché une véritable tempête médiatique en répondant sèchement à l’ancienne pilote américaine Danica Patrick après que celle-ci l’a publiquement attaqué. L’incident s’est produit lors d’une émission sportive diffusée aux États-Unis, où Patrick, désormais consultante télé, a déclaré sans détour que Hamilton était « le pire pilote de l’histoire moderne de la F1 » et qu’« il devrait songer sérieusement à la retraite avant de ridiculiser davantage son héritage ».

Quelques secondes plus tard, Hamilton, invité surprise via visioconférence, a pris la parole d’un ton calme mais glacial. En seulement douze mots, il a réduit Danica Patrick au silence, prononçant la phrase désormais virale : « Assieds-toi, Barbie, et regarde comment on conduit pour de vrai. » Cette réplique, à la fois cinglante et contrôlée, a provoqué un mélange de rires, de stupéfaction et d’applaudissements sur le plateau. En quelques secondes, la tension est montée d’un cran, Danica Patrick restant figée, incapable de répondre.

Les réseaux sociaux se sont immédiatement enflammés. Le hashtag #AssiedsToiBarbie est devenu viral sur X (anciennement Twitter) et Instagram, récoltant des millions de réactions en quelques heures. Tandis que les fans de Hamilton saluent son sang-froid et son sens de la
répartie, d’autres dénoncent une remarque jugée sexiste et déplacée. Plusieurs personnalités du monde du sport automobile ont pris position, certains rappelant que Danica Patrick elle-même n’avait pas mâché ses mots et que Hamilton n’a fait que se défendre face à une attaque personnelle.
Quelques heures plus tard, Danica Patrick a publié un message d’excuses sur ses réseaux sociaux, reconnaissant que ses propos étaient « excessifs » et qu’elle « n’aurait pas dû s’en prendre à une légende vivante du sport ». De son côté, Lewis Hamilton n’a fait aucun autre commentaire, préférant se concentrer sur le prochain Grand Prix, où il espère prouver une fois de plus qu’il reste au sommet malgré les critiques.
Cet échange tendu relance le débat sur le respect entre pilotes, anciens et actuels, mais aussi sur la manière dont les médias traitent les champions à l’approche de la fin de leur carrière. Si certains voient dans cette affaire une simple querelle d’ego, d’autres y lisent une démonstration de caractère de la part d’Hamilton, fatigué de devoir sans cesse justifier son talent après presque deux décennies au plus haut niveau.
Quoi qu’il en soit, cette séquence restera dans les annales de la Formule 1 moderne. En une phrase mémorable, Lewis Hamilton a prouvé qu’il ne se laisse pas marcher sur les pieds — ni sur la piste, ni en dehors.
