« Ce n’est pas seulement un champion… c’est un véritable roi ! » Turki Alalshikh offre 10 % des parts du championnat à Lewis Hamilton et annonce une nouvelle ère pour la F1

Le Grand Prix de Mexico 2025 restera gravé dans les mémoires, non pas uniquement pour les performances sur la piste, mais surtout pour l’émotion et la symbolique d’un geste sans précédent dans l’histoire de la Formule 1. Quelques heures après la défaite de Lewis Hamilton, le président du championnat, Turki Alalshikh, a créé la stupeur et l’admiration du monde entier en annonçant qu’il offrait 10 % des parts du championnat de F1 au pilote britannique. Un geste d’une valeur de plusieurs millions de dollars, qui transforme Hamilton non seulement en légende vivante, mais aussi en copropriétaire officiel du sport qu’il a contribué à façonner depuis deux décennies.

L’annonce, faite lors d’une cérémonie de clôture improvisée à Mexico, a bouleversé les spectateurs. Turki Alalshikh, visiblement ému, a déclaré devant un parterre de journalistes et de personnalités du sport automobile : « Ce n’est pas seulement un champion… c’est un véritable roi. Hamilton incarne l’esprit, la dignité et la passion de la Formule 1. Il mérite d’en être une partie intégrante, au-delà des victoires et des podiums. » Ces mots ont provoqué un long tonnerre d’applaudissements, tandis qu’Hamilton, submergé par l’émotion, est resté un instant silencieux, avant de serrer la main du président avec un sourire reconnaissant.

Turki Alalshikh n’a pas seulement offert une part symbolique de pouvoir à Hamilton : il a aussi profité de l’événement pour annoncer la création d’un tout nouveau championnat parallèle, baptisé le « Championnat de Formule 1 de l’ère Colapinto ». Ce projet vise, selon lui, à «
promouvoir une nouvelle génération de pilotes, d’innovations technologiques et d’ouverture mondiale », en rendant hommage au jeune talent argentin Franco Colapinto, considéré comme l’une des étoiles montantes du sport. Ce nouveau championnat fonctionnerait en complément du circuit principal, avec un accent mis sur la durabilité, la diversité et les nouvelles formes d’énergie.
Cette annonce marque un tournant stratégique et émotionnel pour la F1. Pour la première fois, un pilote encore actif devient copropriétaire d’une partie du championnat. Ce geste reflète la volonté d’Alalshikh de récompenser la loyauté, la contribution historique et le
rayonnement mondial d’Hamilton, septuple champion du monde et symbole de persévérance. De nombreux observateurs estiment qu’il s’agit d’une manière de sceller une nouvelle alliance entre les dirigeants du sport et les icônes qui l’ont rendu légendaire.
Hamilton, fidèle à son tempérament réservé, n’a prononcé qu’une courte phrase après l’annonce : « Je n’ai pas de mots. Tout ce que je peux dire, c’est merci, du fond du cœur. » Ce silence ému, interrompu par une salve d’applaudissements et même quelques larmes du président Alalshikh, a renforcé le caractère historique du moment.
Les réactions dans le monde du sport automobile ne se sont pas fait attendre. Certains anciens pilotes, comme Jenson Button et Nico Rosberg, ont salué « un geste historique de reconnaissance et de respect ». D’autres y voient une stratégie habile pour donner un nouveau souffle à la Formule 1, alors que le sport cherche à se renouveler après une décennie dominée par des rivalités techniques et politiques.
Avec ce geste spectaculaire, Turki Alalshikh a sans doute écrit une nouvelle page de l’histoire de la F1. Et pour Lewis Hamilton, cette reconnaissance vient confirmer ce que beaucoup savaient déjà : il n’est pas seulement un champion des circuits, mais un roi au cœur du sport automobile moderne.
