« C’EST MOI OU LUI. » Lando Norris lance un ultimatum cinglant à McLaren : « Si les critiques persistent, je partirai définitivement. » Le PDG Zak Brown répond immédiatement en dix mots, forçant la fédération à prendre une décision radicale.

L’ambiance chez McLaren est devenue électrique après les déclarations chocs de Lando Norris, qui a publiquement lancé un ultimatum à son équipe : « C’est moi ou lui. » Ces mots, prononcés avec froideur et détermination, ont fait trembler le paddock de la Formule 1. Le jeune pilote britannique, longtemps considéré comme le joyau de McLaren, semble désormais au bord de la rupture avec la direction de l’écurie, en particulier avec certains membres du staff technique qu’il juge « trop critiques et trop instables pour un projet de championnat du monde ».

Tout aurait commencé après le Grand Prix du Japon, où Norris, frustré par des décisions stratégiques qu’il a qualifiées de « catastrophiques », aurait eu une violente altercation verbale avec un ingénieur principal. Selon plusieurs sources internes, la tension aurait atteint son paroxysme lors d’une réunion d’équipe à Woking, où le pilote de 25 ans aurait lancé : « Si les critiques persistent, je partirai définitivement. » Un avertissement direct à Zak Brown et Andrea Stella, les deux figures de proue du projet McLaren.

La réponse du PDG Zak Brown n’a pas tardé. Dix mots, simples mais lourds de sens : « Lando reste tant qu’il croit encore en McLaren. Sinon, non. » Cette phrase, rapportée par la presse britannique, a enflammé les réseaux sociaux et créé une onde de choc dans le monde de la F1. Pour certains, il s’agit d’une déclaration de fermeté ; pour d’autres, d’un aveu que McLaren pourrait bientôt perdre l’un de ses plus grands talents.
Face à cette escalade, la FIA aurait été contrainte d’intervenir en coulisses, craignant que la tension interne ne dégénère publiquement et nuise à l’image de la discipline. Des discussions confidentielles auraient eu lieu entre la fédération, McLaren et les représentants de Norris afin de calmer la situation. Selon des informations provenant du paddock, une « médiation interne » aurait été mise en place pour tenter de restaurer le dialogue entre le pilote et l’équipe avant le Grand Prix du Mexique.
Les fans, quant à eux, se divisent. Une partie soutient pleinement Norris, estimant qu’il mérite une équipe capable de le hisser au sommet, tandis que d’autres jugent son comportement trop impulsif, voire arrogant. Sur X (anciennement Twitter), le hashtag #TeamLando s’est rapidement hissé en tête des tendances, accompagné de milliers de messages de soutien : « Lando doit aller chez Red Bull s’il veut gagner ! » ou encore « McLaren ne le mérite plus ! »
Du côté de McLaren, le silence reste pesant. Andrea Stella s’est contenté de déclarer que « l’équipe reste unie et concentrée sur la performance », sans commenter directement les propos de son pilote. Pourtant, en interne, plusieurs ingénieurs auraient exprimé leur lassitude face à « l’attitude explosive » du Britannique.
À quelques semaines de la fin de la saison, le futur de Lando Norris chez McLaren semble plus incertain que jamais. Un départ vers Red Bull ou Mercedes en 2026 n’est plus une simple rumeur, mais une hypothèse sérieuse, selon plusieurs sources proches du paddock.
Ce qui est certain, c’est que l’ultimatum de Norris a brisé le calme apparent. Le jeune prodige a rappelé qu’il n’était plus seulement un espoir, mais un pilote prêt à imposer ses conditions. Et dans une F1 où les talents sont rares et les rivalités féroces, sa phrase résonne encore comme un coup de tonnerre : « C’est moi ou lui. »
