Christijan Albers défend fermement Max Verstappen après les propos choquants de la femme de Norris : la réponse en cinq mots du champion néerlandais fait éclater la salle de rire

L’ambiance du paddock a pris une tournure explosive hier soir, lors d’un événement privé où plusieurs pilotes et anciens champions de Formule 1 étaient réunis. Une remarque attribuée à la femme de Lando Norris aurait déclenched une réaction en chaîne que personne n’aurait pu anticiper. D’après plusieurs témoins, elle aurait lancé d’un ton méprisant : « C’est une femme, qu’est-ce qu’elle y connaît en F1 et elle veut se vanter… TAIS-TOI… » Une phrase jugée sexiste, déplacée et totalement inappropriée dans un sport qui, plus que jamais, s’efforce de promouvoir l’inclusion et le respect.

Si la majorité des personnes présentes sont restées silencieuses, un homme n’a pas pu retenir sa réaction : Christijan Albers. L’ancien pilote néerlandais, figure appréciée et respectée dans le monde de la F1, s’est levé pour défendre Max Verstappen, visiblement exaspéré par le comportement qu’il jugeait indigne du paddock. Son intervention a immédiatement changé l’atmosphère dans la salle.

« En F1, il n’y a pas de préjugés. C’est un circuit, pas un endroit pour la lâcheté », a déclaré Albers d’une voix forte. Puis, se tournant indirectement vers Norris, il a ajouté : « Cache-toi derrière ta femme, laisse-la se vanter… UN MONDE DÉGOÛTANT. » Une phrase qui a résonné comme un uppercut verbal, plongeant la salle dans un mélange de stupeur et de murmures. Certains n’en revenaient pas d’entendre un ancien pilote intervenir avec une telle fermeté, d’autres applaudissaient silencieusement son courage de dire tout haut ce que plusieurs pensaient tout bas.
Max Verstappen, premier concerné par cette altercation inattendue, semblait à la fois surpris et touché. Selon des proches présents, il ne s’attendait pas à ce qu’un de ses idoles de jeunesse prenne sa défense aussi frontalement. Albers, pour Verstappen, représente une partie de l’histoire de la F1 néerlandaise, un pionnier qui a ouvert la voie aux générations suivantes.
Lorsque la salle s’est calmée, un journaliste a demandé à Verstappen ce qu’il pensait de toute cette agitation. Le triple champion du monde n’a pas cherché à dramatiser la situation. Au contraire, fidèle à son humour froid et à son style direct, il a simplement répondu par cinq mots qui ont fait éclater la salle de rire : « Je ne comprends même pas, moi. » Une phrase amusée, prononcée avec un sourire discret, qui a réussi à désamorcer totalement la tension.
La réaction de Norris, quant à elle, est restée discrète. Il aurait quitté la pièce peu après, visiblement embarrassé par l’incident et par le comportement de sa compagne. Les discussions dans le paddock n’ont pas tardé à s’enflammer, certains estimant qu’Albers avait été trop dur, d’autres affirmant que ce rappel à l’ordre était mérité.
Quoi qu’il en soit, cet épisode prouve une fois de plus que la F1, au-delà des moteurs et des trophées, reste un monde où les personnalités, les émotions et les valeurs prennent souvent le dessus. Et hier soir, Christijan Albers a rappelé que la dignité et le respect sont des éléments essentiels d’un sport qui n’a pas de place pour les préjugés.
