Charles Leclerc a exigé un salaire plus élevé que Lewis Hamilton pour renouveler son contrat avec Ferrari, et la réaction du patron Vasseur a surpris tout le monde !

L’univers de la Formule 1 est une scène où les rivalités ne se jouent pas seulement sur la piste, mais aussi dans les coulisses, là où les négociations contractuelles peuvent devenir de véritables batailles d’influence. Ces dernières semaines, une rumeur enflamme le paddock : Charles Leclerc, pilote star de la Scuderia Ferrari, aurait exigé un salaire supérieur à celui du septuple champion du monde Lewis Hamilton pour prolonger son contrat avec l’écurie italienne. Une demande qui aurait pris de court non seulement les dirigeants de Ferrari, mais aussi Frédéric Vasseur, le directeur de l’écurie, dont la réaction inattendue a surpris tout le monde.

Selon des sources proches de Maranello, Leclerc, qui a rejoint Ferrari en 2019, souhaite désormais être reconnu non seulement pour son talent indéniable, mais aussi pour son rôle central dans la reconstruction de l’équipe. Avec plusieurs podiums et victoires marquantes à son actif, le Monégasque estime avoir prouvé sa valeur au sein de la Scuderia. Il aurait ainsi demandé un salaire annuel dépassant celui de Lewis Hamilton, dont le contrat avec Ferrari à partir de 2025 avoisinerait les 50 millions d’euros. Leclerc, quant à lui, viserait une rémunération de près de 55 millions d’euros, une somme jamais atteinte dans l’histoire de l’écurie italienne pour un pilote.

La réaction de Frédéric Vasseur a, selon les témoins, été d’un calme déconcertant. Loin de s’emporter ou de rejeter la demande de son pilote vedette, le patron français aurait répondu avec humour : « Si tu veux être payé plus que Lewis, il va falloir gagner plus souvent que lui. » Cette phrase, reprise par plusieurs médias italiens, aurait détendu l’atmosphère, tout en envoyant un message clair à Leclerc : la performance prime toujours sur les discussions financières.
Cependant, cette négociation ne se limite pas à une question de salaire. Leclerc souhaiterait aussi obtenir des garanties techniques, notamment une implication plus directe dans le développement de la voiture pour la saison 2026, lorsque le nouveau règlement moteur
entrera en vigueur. Le pilote de 27 ans veut s’assurer que Ferrari lui donne enfin une machine capable de rivaliser avec Red Bull et Mercedes, après des saisons frustrantes marquées par des erreurs stratégiques et un manque de compétitivité.
De son côté, Hamilton, encore en phase d’intégration à la Scuderia, aurait accueilli la nouvelle avec un sourire énigmatique. Le Britannique, connu pour son charisme et son expérience, ne semble pas préoccupé par les chiffres. Selon plusieurs observateurs, il serait davantage concentré sur le défi sportif et la possibilité d’apporter à Ferrari un titre mondial qui lui échappe depuis 2007.
Quoi qu’il en soit, cette affaire met en lumière la nouvelle dynamique au sein de Ferrari : deux pilotes de classe mondiale, deux égos puissants et un patron qui devra maintenir l’équilibre pour éviter une guerre interne. Si Leclerc obtient gain de cause, il deviendrait le pilote
le mieux payé de la Formule 1, devant Verstappen et Hamilton. Mais pour convaincre Ferrari de céder, il devra prouver que son ambition n’est pas seulement financière, mais aussi sportive — celle de rendre à la Scuderia sa gloire d’antan.
