Choc en Formule 1 😱 Le jeune prodige Adrien Pasqualis menace de quitter McLenton après un ordre d’équipe controversé à Singapour
Le Grand Prix de Singapour devait être une célébration pour l’écurie McLenton. Après des semaines de travail acharné et une monoplace enfin compétitive, tout semblait indiquer que le jeune pilote Adrien Pasqualis allait décrocher sa première victoire en Formule 1. Mais la nuit de Marina Bay a tourné au drame sportif et émotionnel. À quelques tours de l’arrivée, une consigne inattendue venue du mur des stands a tout bouleversé : « Laisse passer ton coéquipier pour la victoire. »

Selon des témoins sur place, le ton de la radio était glacial, sans explication supplémentaire. Pasqualis, visiblement stupéfait, aurait d’abord refusé avant de céder, dans un geste qui a enflammé les réseaux sociaux. L’image du jeune pilote coupant la ligne d’arrivée en deuxième position, casque baissé, a rapidement fait le tour du monde. Pendant ce temps, son coéquipier britannique, Leo Norris, levait les bras au ciel, célébrant sa victoire… dans un silence pesant.

Quelques minutes plus tard, dans le paddock, la tension est montée d’un cran. Pasqualis, furieux, aurait quitté le débriefing en déclarant à demi-mot à un journaliste : « Si c’est ça leur idée d’un travail d’équipe, je n’en ferai plus partie. » Des paroles lourdes de sens, qui sonnent comme une menace claire à l’égard de McLenton.

Zak Brown, le directeur de l’écurie, a tenté d’éteindre l’incendie en conférence de presse. « Nos décisions sont toujours prises dans l’intérêt de l’équipe », a-t-il affirmé avec son calme habituel. Mais derrière cette façade de sérénité, plusieurs observateurs décrivent une atmosphère explosive. Des tensions internes opposeraient depuis plusieurs semaines les deux camps — celui qui mise sur la régularité stratégique de Norris et celui qui croit en la fougue et au talent brut de Pasqualis.
Des sources proches de l’équipe rapportent que la direction aurait choisi d’assurer un maximum de points pour le championnat constructeurs, quitte à sacrifier les ambitions personnelles du jeune pilote. Une stratégie compréhensible sur le plan comptable, mais destructrice sur le plan humain. Dans le paddock, plusieurs figures de la F1 ont exprimé leur soutien à Pasqualis, saluant son sang-froid et sa maturité malgré la frustration.
Sur les réseaux sociaux, les fans se sont déchaînés. Le hashtag #LetPasqualisWin est devenu viral en quelques heures, symbole d’une génération qui rejette les ordres d’équipe perçus comme injustes. Même d’anciens champions du monde ont réagi : « Les pilotes doivent courir pour gagner, pas pour obéir », a tweeté un ancien vainqueur de la discipline.
Alors que le championnat entre dans sa phase décisive, une question brûle toutes les lèvres : Adrien Pasqualis restera-t-il chez McLenton ou choisira-t-il de partir pour une autre aventure ? Selon plusieurs rumeurs insistantes, deux grandes écuries européennes auraient déjà pris contact avec son entourage.
Quoi qu’il en soit, cette affaire a déjà marqué un tournant. Car à Singapour, sous les lumières artificielles du circuit, ce n’est pas seulement une course que Pasqualis a perdue — c’est une part de sa confiance en ceux censés le soutenir.
