« Elle ne mérite pas mon respect » : Whoopi Goldberg Déclenche l’Implacable Réponse de Naomi Osaka en Dix Mots qui Ont Enflammé le Monde
New York, 16 novembre 2025 – Le plateau de The View n’avait jamais connu un tel silence glacial. À 11 h 12 précises, Whoopi Goldberg, 70 ans, icône du cinéma et co-animatrice légendaire, a lâché une phrase qui a fait trembler les murs du studio ABC : « Elle ne mérite pas mon respect. » Son regard, d’ordinaire espiègle, était devenu acier. Le public, 250 personnes venues applaudir les débats enflammés, s’est figé. Joy Behar a ouvert la bouche, puis l’a refermée. Sunny Hostin a baissé les yeux. Et le nom prononcé ? Naomi Osaka – quadruple championne du Grand Chelem, 28 ans, mère d’une petite Shai, et l’une des joueuses les plus aimées du circuit WTA.

Le contexte ? Un segment sur le « retour raté » d’Osaka après sa maternité. Whoopi, fan assumée de Serena Williams, n’a pas mâché ses mots : « Naomi est revenue, oui, mais pour quoi ? Des quarts de finale à Brisbane, une défaite au premier tour à l’US Open contre une qualifiée. Elle parle de santé mentale, mais où est la compétitivité ? Elle ne mérite pas mon respect tant qu’elle ne gagne plus comme avant. » Le ton était si froid, si tranchant, que même Alyssa Farah Griffin, conservatrice du panel, a murmuré : « Whoopi, c’est dur… »
Cinq minutes plus tard, à 11 h 17, le téléphone de la régie a vibré. Un message texte, envoyé depuis Melbourne où Osaka s’entraîne pour l’Open d’Australie 2026. Dix mots, exactement. Dix mots qui ont fait exploser les réseaux sociaux en moins de trente secondes :

Dix mots. Pas un de plus. Naomi Osaka, en direct sur son compte X (ex-Twitter), a posté la phrase avec une photo : elle, en sueur, sur le court Rod Laver, tenant sa raquette comme une épée. Le tweet a atteint 1,8 million de likes en une heure. #Osaka10Words est devenu tendance mondiale n°1. TikTok a explosé avec des edits ralentis de ses victoires passées – Miami 2018, US Open 2018, Australian Open 2019 et 2021 – sur fond de Sweet but Psycho. Même Elon Musk a retweeté : « Mic drop. »
Dans le studio, Whoopi a blêmi. La régie a coupé la pub en urgence. À son retour, l’animatrice a tenté de rattraper : « J’aime Naomi, vraiment. Mais on attend plus d’elle. » Trop tard. Le mal était fait. Serena Williams, mentor d’Osaka, a posté une story Instagram : une photo d’elle et Naomi à Wimbledon 2019, avec la légende « Respect isn’t given, it’s earned – on AND off the court. » 2,3 millions de vues.
Le passé d’Osaka rend la phrase encore plus percutante. En 2021, elle avait boycotté les conférences de presse à Roland-Garros pour protéger sa santé mentale, écopant d’une amende de 15 000 $. Whoopi, alors, l’avait défendue : « Laissez-la respirer ! » Quatre ans plus tard, le revirement est brutal. Osaka, elle, n’a pas oublié. Son tweet suivant, à 11 h 45 : « J’ai appris à ne pas mendier le respect. Je le prends sur le court. Melbourne, janvier. » Avec un emoji de raquette en feu.

Les réactions fusent. Billie Jean King : « Naomi vient de donner une leçon de dignité. » Coco Gauff : « Ma grande sœur a parlé. Point final. » Même Roger Federer, en retraite, a liké. En France, L’Équipe titre : « Osaka 1 – Goldberg 0 ». Aux États-Unis, The New York Times parle d’« un moment culturel ». Sur Reddit, r/tennis explose : 45 000 upvotes pour un thread intitulé « Whoopi vs Osaka : qui a gagné ? »
À 14 h, Osaka a posté une vidéo d’entraînement : 45 minutes de service, 200 km/h, zéro faute. Légende : « Respect ? Je le sers. » Le monde entier a compris. Whoopi, en fin d’émission, a tenté une excuse : « J’ai été dure, mais c’est l’amour vache. » Trop tard. Les réseaux ont déjà couronné leur reine.
Ce soir, à Melbourne, Osaka s’entraîne sous les projecteurs. Demain, elle affrontera une sparring-partner. En janvier, l’Open d’Australie. Et quelque part, à New York, Whoopi Goldberg regarde peut-être le match en silence. Dix mots ont suffi. Dix mots pour rappeler que le respect, dans le tennis comme dans la vie, ne se donne pas. Il se gagne. Et Naomi Osaka vient de le prouver, une nouvelle fois.
