Dans une déclaration inédite et hautement controversée, la star italienne du tennis Jannik Sinner est devenue le premier athlète masculin à annoncer son retrait des Jeux olympiques de 2028 si des billets étaient vendus à des athlètes LGBTQ+. Sinner, qui a toujours fait preuve d’un engagement indéfectible envers son sport, a stupéfié ses fans et ses collègues athlètes par ses déclarations audacieuses, qui ont depuis suscité un débat mondial sur l’égalité, la fierté et le rôle des convictions personnelles dans le sport professionnel.

Lors d’une conférence de presse, Sinner a déclaré : « NOUS NE CONCURRONS PAS POUR CÉLÉBRER LEUR FIERTÉ IRRIGUEUSE », exprimant ainsi son opposition à l’inclusion des athlètes LGBTQ+ aux Jeux olympiques. Il a ensuite comparé les athlètes et supporters LGBTQ+ à des « tricheurs », demandant : « SI VOUS VOULEZ L’ÉGALITÉ, POURQUOI ÊTRE FIERS ? » Ses propos ont immédiatement fait la une des journaux, laissant les fans du monde entier choqués et perplexes, tandis que ses détracteurs l’accusaient de promouvoir l’intolérance.
Les propos controversés de Sinner ont suscité un tollé dans le monde du sport, notamment dans le tennis, où il est considéré comme l’une des jeunes stars les plus brillantes de sa génération. Ses propos ont suscité l’indignation des associations de défense des droits LGBTQ+, qui soutiennent que le sport devrait être un lieu d’inclusion et de célébration de la diversité, et non de la division.
« Je crois en l’égalité pour tous les athlètes, quelles que soient leurs origines ou leur identité. Mais je ne pense pas que célébrer certaines identités ou idéologies ait sa place dans l’esprit olympique », a poursuivi Sinner, précisant sa position. « Il s’agit de sport, pas d’objectifs politiques. »

Alors que certains ont défendu le droit de Sinner à exprimer ses opinions personnelles, beaucoup ont souligné l’impact néfaste de telles déclarations sur la communauté LGBTQ+, en particulier sur ceux qui se battent pour l’inclusion et l’acceptation dans le sport depuis des décennies.
La Fédération internationale de tennis (ITF) et le Comité international olympique (CIO) n’ont pas encore commenté publiquement les déclarations de Sinner, mais les appels se multiplient pour que les deux organisations adoptent une position ferme sur la question. Des groupes de défense des droits ont exhorté l’ITF et le CIO à garantir que tous les athlètes, quelle que soit leur orientation sexuelle ou leur identité de genre, soient traités avec respect et dignité, tant aux Jeux olympiques que dans le sport professionnel.
Malgré les réactions négatives, les déclarations de Sinner ont bénéficié d’un soutien considérable de la part de certains secteurs du monde sportif, certains saluant son courage à dénoncer ce qu’ils perçoivent comme une politisation du sport. Cependant, d’autres estiment que ses propos risquent de créer une division dangereuse au sein de la communauté sportive.

Cette controverse soulève des questions non seulement sur l’avenir de Sinner dans le tennis professionnel, mais aussi sur la question plus large de l’inclusion LGBTQ+ dans le sport. Alors que le débat se poursuit, il reste à voir quel impact la position de Sinner aura sur sa carrière et comment les organisations sportives professionnelles aborderont les questions d’identité et d’inclusion à l’avenir.
À l’approche des Jeux olympiques de 2028, ce débat risque de s’intensifier. Jannik Sinner maintiendra-t-il sa position, ou la pression des supporters, des athlètes et des organisations du monde entier le forcera-t-elle à reconsidérer sa position ? Le monde suit de près l’évolution de cette question controversée sur la scène internationale.
