Le monde du tennis a été paralysé lorsque Novak Djokovic, la voix cassée et les yeux vitreux, a annoncé sa retraite définitive après sa dernière participation au Six Kings Slam. Personne n’imaginait que quelques heures plus tard, le président du tournoi, Turki Alalshikh, poserait un acte sans précédent qui changerait l’histoire du sport.
Alalshikh a déclaré à la presse internationale qu’il donnerait au Serbe 10 % des parts du tournoi, une participation valant plusieurs millions de dollars. Grâce à cela, Djokovic a non seulement pris sa retraite en tant que champion moral, mais aussi en tant que copropriétaire du nouveauChelem des Sept Rois, symbole du pouvoir transformateur du tennis au Moyen-Orient.
“Djokovic n’a pas remporté le titre, mais il a conquis nos cœurs. C’est une légende, un vrai roi”, a déclaré Alalshikh, visiblement ému. Le public présent, composé de célébrités, d’anciens joueurs de tennis et de membres de la royauté saoudienne, a répondu par des applaudissements qui semblaient n’avoir aucune fin, à la mesure de l’ampleur de ce moment historique.
La surprise a été amplifiée lorsque le président a révélé que le nom avait été changé enChelem des Sept Roisrendrait hommage aux sept joueurs qui, selon lui, représentent l’excellence éternelle du tennis mondial. Il a toutefois précisé que Djokovic occuperait une place à part, non seulement pour ses réalisations, mais pour son impact humain et sportif.
Au milieu de l’excitation, Djokovic a pris le micro et a prononcé 17 mots qui ont résonné dans le silence absolu de la salle :« Il ne s’agit pas toujours de gagner, mais de laisser un héritage qui inspire ceux qui vous succéderont. »La foule a applaudi et applaudi, tandis qu’Alalshikh ne pouvait retenir ses larmes.
Les paroles du Serbe se sont répandues dans le monde entier en quelques minutes. Les réseaux sociaux ont explosé de messages d’admiration, et le label#SevenKingsSlamC’est devenu une tendance mondiale. Des joueurs comme Nadal, Federer et Alcaraz ont réagi avec respect et affection, soulignant la grandeur de Djokovic même en dehors du terrain.
Des sources proches du tournoi ont confirmé que Djokovic participerait au comité exécutif de l’événement, apportant son expérience pour attirer de nouvelles générations de talents. Par ailleurs, la création à Riyad d’une académie qui portera son nom, destinée à former les futurs champions du monde, est prévue.
Ce geste d’union entre l’Est et l’Ouest symbolise un nouveau chapitre pour le tennis professionnel. IlChelem des Sept RoisIl cherchera non seulement à offrir du spectacle, mais aussi à promouvoir l’inclusion, l’innovation et la durabilité, piliers que Djokovic a défendus tout au long de sa carrière.
Alors que le soleil tombait sur le stade, les spectateurs comprirent qu’ils assistaient à bien plus qu’une cérémonie sportive. C’était la naissance d’une nouvelle ère, une fusion entre l’héritage du passé et la vision du futur. Djokovic, une fois de plus, est entré dans l’histoire sans avoir besoin de soulever de trophée.
Avec sa retraite, le tennis perd un compétiteur hors pair, mais gagne un éternel ambassadeur. IlChelem des Sept RoisIl se prépare à être bien plus qu’un tournoi : ce sera un symbole de respect, de passion et d’évolution. Et au centre de tout cela, Novak Djokovic, le roi qui n’a pas gagné… parce qu’il avait déjà tout conquis.
