Lors d’une interview profondément émouvante, la mère de Novak Djokovic a laissé échapper des larmes en évoquant le long chemin parcouru par son fils. Sa voix brisée par l’émotion a touché le cœur de millions de fans à travers le monde.

« Mon fils a apporté la gloire à notre famille et au tennis », a-t-elle murmuré, avant de s’interrompre pour reprendre son souffle. Derrière cette phrase se cache une vie entière de sacrifices, de luttes et d’amour inconditionnel.
Elle a raconté les années de jeunesse de Novak, marquées par la guerre en Serbie, les coupures d’électricité, la peur, mais aussi un rêve inébranlable : celui de devenir le meilleur joueur du monde malgré les obstacles.
Les conditions étaient terribles, les courts endommagés, les balles usées, mais Novak n’a jamais abandonné. Sa mère se souvient des nuits glaciales où il s’entraînait avec un manteau, refusant de se plaindre.
« Il avait cette lumière dans les yeux », a-t-elle raconté, la voix tremblante. « Même quand nous n’avions rien, il disait toujours : Maman, un jour je jouerai à Wimbledon. Et il l’a fait. »
Le monde a souvent vu Djokovic comme un guerrier sur le court, mais peu connaissent l’enfant fragile derrière la légende. Sa mère, témoin de chaque chute, de chaque victoire, porte encore en elle toutes ces batailles invisibles.

Lorsqu’il a remporté le Championnat du monde 2023, elle était là, dans les tribunes, les mains jointes, priant silencieusement. Ce triomphe, elle le décrit comme « la récompense d’une vie entière de foi et de douleur ».
Mais derrière la gloire, il y a aussi la solitude. Novak a souvent été critiqué, parfois incompris, rejeté même par une partie du public. « Le monde a été dur avec lui », a confié sa mère, les larmes aux yeux.
Elle se souvient des titres perdus, des blessures physiques et des nuits sans sommeil. Chaque revers sur le court était aussi un coup porté à son cœur de mère. Pourtant, elle n’a jamais douté de lui, pas une seule fois.
« Je savais qu’il avait été choisi pour accomplir quelque chose de grand. Pas seulement dans le tennis, mais dans la vie », dit-elle avec fierté. Son regard mêle tristesse et admiration, comme celui d’une femme qui a tout donné pour un rêve.
La victoire de 2023 n’a pas été qu’un moment sportif. C’était un symbole : celui d’un homme ayant vaincu ses peurs, ses blessures, et les jugements d’un monde qui ne l’a pas toujours compris.
Pour sa mère, chaque trophée est une preuve d’amour, pas de gloire. « Je ne veux pas qu’il soit seulement un champion. Je veux qu’il soit heureux, entouré de ceux qu’il aime », a-t-elle confié doucement.
Les fans présents ce jour-là se souviennent encore de la scène : Novak levant les bras vers le ciel, puis cherchant le regard de sa mère dans les gradins. Leurs yeux se sont croisés, remplis d’émotion pure.
C’était un moment suspendu, une reconnaissance silencieuse entre une mère et son fils. Leurs vies entières semblaient se résumer à cet instant : la douleur, la persévérance et l’amour absolu.

Aujourd’hui, Novak Djokovic a 38 ans. Son corps porte les marques du temps, mais son esprit reste aussi fort qu’au premier jour. Sa mère dit qu’il ne joue plus seulement pour gagner, mais pour inspirer ceux qui doutent encore.
« Novak est la preuve que même dans la tempête, on peut garder la foi », conclut-elle. « S’il a réussi, c’est parce qu’il a toujours su d’où il venait et pour qui il se battait. »
Cette confession, empreinte de tendresse et de vérité, a bouleversé le monde du sport. Les fans, émus, ont inondé les réseaux de messages de soutien, rappelant que derrière le champion, il y a un fils, un cœur, et une mère qui croit en lui.
Dans le silence de cette interview, on a compris que le plus grand triomphe de Novak Djokovic n’est pas d’avoir battu ses rivaux, mais d’avoir honoré l’amour et la foi de celle qui l’a vu naître.
